[ Lettre ouverte du 24 mars 2023 ]
Suite aux engagements pris par la mairie lors de la procédure en justice initiée par PAGV au sujet de la présentation du Général Leclerc sur le mobilier urbain officiel de la ville, la maire de Pontoise s’était engagée à faire remplacer les inscriptions litigieuses par un nouveau texte, rédigé par la Fondation pour la Mémoire de l’Esclavage.
4 mois après l’ordonnance du juge administratif, la mairie n’a toujours rien fait et les événements prouvent que nous avions raison d’affirmer que l’absence d’un texte précisant qu’il s’agissait d’un esclavagiste contrevenait à la loi dite « Taubira », tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité, et était susceptible de constituer un trouble à l’ordre public.
Vous trouverez ci-après notre courrier adressé à la maire ce 24 mars :